Voilà, le site, après une première phase de montée en maturité, change d'adresse :
http://sportmikblogger.blogspot.com/
merci !
42 marathons : Découvrir le monde en courant
Il y a 2 jours
jeudi 19 mars 2009
jeudi 12 mars 2009
Palmes : 2
Et voici la seconde session cette semaine avec les nouvelles palmes. Et de me fixer un entrainement basé sur les bras.
Les palmes ont pour effet deux choses principales :
- aider à se maintenir horizontal ;
- contribuent à un mouvement efficace sur l'eau.
De fait, je peux focaliser mon effort sur les mouvements de bras, en même temps que ma fichue respiration. Le tout en conservant un battement bien régulier qui prend sa source au niveau des hanches.
J'ai focalisé aussi sur une expiration exclusive par le nez, car je me suis rendu compte que je soufflais par le nez ET par la bouche ... Pas bon ça non ?
En battements de jambe avec la planche devant, j'ai bien senti les fessiers se réveiller. Ca a mouliné dur ! J'ai remarqué aussi une fâcheuse tendance à dériver sur la gauche, que je dois compenser avec le bras, du certainement au fait que ma jambe droite doit mal être alignée. D'ailleurs je me surprends à percuter mes pieds lors des battements ...
Ainsi équipé, les records tombent (!). Je nage beaucoup plus vite, mais pas forcément mieux encore.
J'ai donc fait :
- 200m d'échauffement en brasse, sans palmes ni planche. Pour se mettre dans l'ambiance.
- 800m avec planche et palmes, respiration sur le côté, battements de jambes ...
- 500m sans planche, en crawl 2T et 3T.
- 200m de récupération en brasse tranquille avec un peu de crawl cool down.
Le tout agrémenté de très généreuses pauses (> 30s avec récupération statique), toujours aussi nécessaires. Je peux tenir à un rythme satisfaisant pas plus de 100m encore. Mais la technique progresse. A suivre.
Les palmes ont pour effet deux choses principales :
- aider à se maintenir horizontal ;
- contribuent à un mouvement efficace sur l'eau.
De fait, je peux focaliser mon effort sur les mouvements de bras, en même temps que ma fichue respiration. Le tout en conservant un battement bien régulier qui prend sa source au niveau des hanches.
J'ai focalisé aussi sur une expiration exclusive par le nez, car je me suis rendu compte que je soufflais par le nez ET par la bouche ... Pas bon ça non ?
En battements de jambe avec la planche devant, j'ai bien senti les fessiers se réveiller. Ca a mouliné dur ! J'ai remarqué aussi une fâcheuse tendance à dériver sur la gauche, que je dois compenser avec le bras, du certainement au fait que ma jambe droite doit mal être alignée. D'ailleurs je me surprends à percuter mes pieds lors des battements ...
Ainsi équipé, les records tombent (!). Je nage beaucoup plus vite, mais pas forcément mieux encore.
J'ai donc fait :
- 200m d'échauffement en brasse, sans palmes ni planche. Pour se mettre dans l'ambiance.
- 800m avec planche et palmes, respiration sur le côté, battements de jambes ...
- 500m sans planche, en crawl 2T et 3T.
- 200m de récupération en brasse tranquille avec un peu de crawl cool down.
Le tout agrémenté de très généreuses pauses (> 30s avec récupération statique), toujours aussi nécessaires. Je peux tenir à un rythme satisfaisant pas plus de 100m encore. Mais la technique progresse. A suivre.
mercredi 11 mars 2009
Séance plus
Une séance bien comme je les aime, malgré le monde à Jean Taris aujourd'hui.
Des longueurs durant lesquelles je me suis efforcé de m'appliquer, en crawl trois temps. J'ai pu en aligner certaines, non sans fierté, en me fixant bien le retour de bras, le coude cassé, et les battements de jambe (sans palmes).
Un peu de monde, dont des doubleurs maladroits, mais une bonne séance de 70 longueurs. C'est revigorant.
Des longueurs durant lesquelles je me suis efforcé de m'appliquer, en crawl trois temps. J'ai pu en aligner certaines, non sans fierté, en me fixant bien le retour de bras, le coude cassé, et les battements de jambe (sans palmes).
Un peu de monde, dont des doubleurs maladroits, mais une bonne séance de 70 longueurs. C'est revigorant.
mardi 10 mars 2009
Séance de yoga récupératrice
Ce midi, rendez-vous chez Dominique. Celui qui m'a pris pour un danseur classique (de par mon aptitude à me pencher fortement en avant), qui m'a appelé Franck et aujourd'hui Steeve (!!), a de nouveau fédéré son monde avec sa routine exceptionnelle.
J'en avais besoin, le cumul de stress de ces derniers jours (travail etc ...) a atteint sa limite. Je comptais bien sur cette séance pour dénouer tout mon corps, et aussi me remettre du footing de la veille, qui a laissé des traces après une séance de natation exigente. Et je n'ai pas été déçu.
Le cours était plein, plus que d'habitude.
Dans la série des nouveautés, j'ai remarqué une introduction - toujours pour ceux qui veulent - d'une extension de la posture allongé, genou plié devant, jambe opposée allongée derrière. En levant le coude, on ramène la jambe arrière sur la fesse. Déjà là ça tire, et c'est le premier niveau. Il en a ajouté un second en attrapant l'orteil de la jambe arrière, coude levé au dessus de la tête, et extension de la colonne pour ramener la tête en arrière, comme pour la poser sur le pied. C'est la posture du pigeon.
Je l'ai faite que d'un côté, et quel soulagement d'étirer ainsi la colonne vertébrale. Une vraie libération !
Enfin, autre source de satisfaction, j'ai enfin pu réussir mes inversions, notamment celle des jambes en équerre tenues bras tendus. Il aura fallu pas moins de huit séances pour ça ...
Et le prof d'expliquer à quelle heure il vaut mieux faire telle ou telle posture, etc .... Un moment à part comme de coutume, pour se retrouver. Un moment où on est soi avec soi.
Et une élève de conclure : "C'est trop génial". Voilà tout est dit. Et la forme retrouvée pour la suite.
J'en avais besoin, le cumul de stress de ces derniers jours (travail etc ...) a atteint sa limite. Je comptais bien sur cette séance pour dénouer tout mon corps, et aussi me remettre du footing de la veille, qui a laissé des traces après une séance de natation exigente. Et je n'ai pas été déçu.
Le cours était plein, plus que d'habitude.
Dans la série des nouveautés, j'ai remarqué une introduction - toujours pour ceux qui veulent - d'une extension de la posture allongé, genou plié devant, jambe opposée allongée derrière. En levant le coude, on ramène la jambe arrière sur la fesse. Déjà là ça tire, et c'est le premier niveau. Il en a ajouté un second en attrapant l'orteil de la jambe arrière, coude levé au dessus de la tête, et extension de la colonne pour ramener la tête en arrière, comme pour la poser sur le pied. C'est la posture du pigeon.
Je l'ai faite que d'un côté, et quel soulagement d'étirer ainsi la colonne vertébrale. Une vraie libération !
Enfin, autre source de satisfaction, j'ai enfin pu réussir mes inversions, notamment celle des jambes en équerre tenues bras tendus. Il aura fallu pas moins de huit séances pour ça ...
Et le prof d'expliquer à quelle heure il vaut mieux faire telle ou telle posture, etc .... Un moment à part comme de coutume, pour se retrouver. Un moment où on est soi avec soi.
Et une élève de conclure : "C'est trop génial". Voilà tout est dit. Et la forme retrouvée pour la suite.
8.5 km dans la douleur
Cela faisait longtemps que ce n'était arrivé, et heureusement. Hier, mal m'en a pris d'aller courir aux Tuileries. Le temps s'y prêtait bien, c'est ce qui m'a motivé.
Après le "départ", mon corps a émis des signaux d'alerte orange : un au mollet droit, et un autre au genou gauche. Comme si je courais déséquilibré. C'est à ce moment que je me dis que ma séance du midi de nage à palmes devait y être pour quelque chose.
Pourtant je n'ai pas forcé, je me suis juste entêté à finir le parcours théorique de six tours de parc. Dont un relâchement en footing lent après 5 km.
Au final, j'ai arrêté après plus de 40 minutes, avec un mollet droit en acier qui tirait fort, et un genou gauche qui ne se pliait que sous la douleur. Des débuts de crampe sur le quadricps a fini de m'alerter.
Séance d'étirements maximum donc pour terminer, cela a soulagé notamment le mollet. Pour le genou, un léger mieux le lendemain. La séance de yoga va surement aider.
Après le "départ", mon corps a émis des signaux d'alerte orange : un au mollet droit, et un autre au genou gauche. Comme si je courais déséquilibré. C'est à ce moment que je me dis que ma séance du midi de nage à palmes devait y être pour quelque chose.
Pourtant je n'ai pas forcé, je me suis juste entêté à finir le parcours théorique de six tours de parc. Dont un relâchement en footing lent après 5 km.
Au final, j'ai arrêté après plus de 40 minutes, avec un mollet droit en acier qui tirait fort, et un genou gauche qui ne se pliait que sous la douleur. Des débuts de crampe sur le quadricps a fini de m'alerter.
Séance d'étirements maximum donc pour terminer, cela a soulagé notamment le mollet. Pour le genou, un léger mieux le lendemain. La séance de yoga va surement aider.
lundi 9 mars 2009
Première séance 100% palmes
Fermement décidé, samedi je suis donc passé au Go Sport pour m'équiper de la dernière paire de palmes qu'ils avaient (à ma taille). J'ai évité la paire made in China car je n'ai pas confiance dans le système qui soutient le talon d'Achille. Avec celles-là, point de souci, une sangle bien élastique et réglable permet de bien soutenir le pied. Et c'est le pied !
Direction la ligne 2, celle réservée aux instruments de nage pour nageurs équipés de systèmes de prise de vitesse, de stabilisation diverses, ou anti-coulée. Et de dire qu'elle est aussi fréquentée par beaucoup de monde, et aussi par des sauvages de la circulation.
On m'avait dit de travailler mes battements de jambe. J'ai donc commencé par là, pour m'échauffer. 200m.
Ensuite travail en alternance, pour reprendre les exercices de mon seul cours. Poussée côté droit, avec respiration côté gauche, et inversement.
J'ai alterné tous ces exercices là, palmé, et les conclusions sont intéressantes :
Direction la ligne 2, celle réservée aux instruments de nage pour nageurs équipés de systèmes de prise de vitesse, de stabilisation diverses, ou anti-coulée. Et de dire qu'elle est aussi fréquentée par beaucoup de monde, et aussi par des sauvages de la circulation.
On m'avait dit de travailler mes battements de jambe. J'ai donc commencé par là, pour m'échauffer. 200m.
Ensuite travail en alternance, pour reprendre les exercices de mon seul cours. Poussée côté droit, avec respiration côté gauche, et inversement.
J'ai alterné tous ces exercices là, palmé, et les conclusions sont intéressantes :
- La vitesse est bien plus rapide que sans, mais demande un effort assez soutenu. Je me suis surpris en deçà de la minute pour une longueur.
- Cela demande une plus grande stabilisation au niveau des jambes (vu en cours). Par moments je dérive sur le côté.
- Pensant maitriser les battements (pas de coup avec le genou ! mais un mouvement qui part de la hanche ...), j'ai focalisé sur le retour de bras : coude cassé pour faire passer le mouvement par l'épaule et non le bras = économie d'énergie. Et prise sur le crawl suivant le bras bien en avant. J'ai ressenti une plus grande efficacité.
- Les jambes ont quand même été bien sollicitées, mais je pense qu'elles étaient mieux alignées et plus efficaces que sans palmes.
- A la fin de l'entrainement, j'ai laissé la planche sur le bord. Et là surprise : les sensations de glisse étaient là, bien soutenues par les palmes, et la vitesse qu'elles m'ont permis. Un vrai régal, malgré les essoufflements encore trop présents, m'obligeant à des pauses régulières tous les 50 ou 100m au mieux.
- Tentative de trois temps sans planche, avec application du retour de bras : et là j'ai bien ressenti la sensation de glisse, très rapide (pour moi), et j'ai repensé à ma métaphore de ski, qui s'avère vraie : en s'appliquant, on se fatigue moins, on glisse mieux, et on nage plus vite. Je me suis surpris à dépasser un voisin sur la ligne à côté (en crawl, précise), ce qui n'arrive jamais. Mais je dois encore travailler mon endurance.
Récap semaine 10 (2 mars)
Une semaine un peu moins chargée.
Natation : 3 séances pour 5.8 km (2h35)
Course à pied : 1 sortie de 8 km (45').
Comme il faut bien se lancer, je me suis fixé une première course en vrai pour dimanche prochain. Faut que j'appelle mais l'idée est de faire un 5 km, lors de la course de la Salucéenne. Avec pour objectif ... de le finir ! En espérant que je puisse le faire, et que le temps ne soit pas à la pluie !
Côté natation, aujourd'hui ce sera séance palmée. Je me suis enfin convaincu de me doter de ce précieux outil pour améliorer ma technique. Et aussi convaincu de reprendre des cours.
Natation : 3 séances pour 5.8 km (2h35)
Course à pied : 1 sortie de 8 km (45').
Comme il faut bien se lancer, je me suis fixé une première course en vrai pour dimanche prochain. Faut que j'appelle mais l'idée est de faire un 5 km, lors de la course de la Salucéenne. Avec pour objectif ... de le finir ! En espérant que je puisse le faire, et que le temps ne soit pas à la pluie !
Côté natation, aujourd'hui ce sera séance palmée. Je me suis enfin convaincu de me doter de ce précieux outil pour améliorer ma technique. Et aussi convaincu de reprendre des cours.
vendredi 6 mars 2009
Un 8 km presque parfait
Cette semaine a été l'occasion de refaire un parcours de santé au Jardin des Tuileries.
Au programme de cette alléchante invitation : un 6000m au minimum. Je me fixe comme ça un objectif de principe calqué en général sur le temps dont je dispose. Ensuite les choses se passent ou ne se passent pas, mais au moins la séance a un but.
Il faisait relativement bon, et la séance a bien débuté, sur un rythme corrext pour faire monter la température. Mais tout de même, je me sentais assez fatigué pour prétendre aligner les intervalles. J'ai donc résilié cette perspective, me focalisant sur une vitesse de croisière pour faire les cinq tours requis.
Puis je commence doucement à augmenter la dose, mais au delà du 3me kilomètre je préférais conserver la moyenne. Passage aux 5000 en 27'45, j'ai pu le voir sur le Garmin, ce qui est très honorable.
J'ai continué sur trois tours supplémentaires, croisant ici et là des joggers avertis. Face au vent qui était assez froid, et face à l'heure qui tournait (déjà plus de 40 minutes depuis le top départ), je finissais aux 8000 pile, mais j'étais assez bien lancé pour aller vers les 10000. Ce sera pour une autre fois ...
Bref une belle sortie qui m'a fait oublier tout le reste.
Au programme de cette alléchante invitation : un 6000m au minimum. Je me fixe comme ça un objectif de principe calqué en général sur le temps dont je dispose. Ensuite les choses se passent ou ne se passent pas, mais au moins la séance a un but.
Il faisait relativement bon, et la séance a bien débuté, sur un rythme corrext pour faire monter la température. Mais tout de même, je me sentais assez fatigué pour prétendre aligner les intervalles. J'ai donc résilié cette perspective, me focalisant sur une vitesse de croisière pour faire les cinq tours requis.
Puis je commence doucement à augmenter la dose, mais au delà du 3me kilomètre je préférais conserver la moyenne. Passage aux 5000 en 27'45, j'ai pu le voir sur le Garmin, ce qui est très honorable.
J'ai continué sur trois tours supplémentaires, croisant ici et là des joggers avertis. Face au vent qui était assez froid, et face à l'heure qui tournait (déjà plus de 40 minutes depuis le top départ), je finissais aux 8000 pile, mais j'étais assez bien lancé pour aller vers les 10000. Ce sera pour une autre fois ...
Bref une belle sortie qui m'a fait oublier tout le reste.
La jalousie est un vilain défaut
Mon problème, c'est la respiration et la technique en crawl. Impossible de maitriser les deux pour aligner plus de deux longueurs sans recracher mes poumons. En plus d'une forme assez tiédasse ces temps-ci, ça me lasse et cela peut même me décourager.
Et pourtant je le sais très bien : il ne faut pas regarder les autres, surtout quand tout le monde dépasse.
Et bien j'ai pêché. Et la sanction a été sévère cette semaine à Jean Taris. Observant mes voisins sur la ligne d'à côté, je repensais à la métaphore du ski : plus de technique, moins d'effort, plus d'endurance et plus de vitesse. Tout pareil ! Et à eux d'enchainer les allées et venues avec une technique hyper fluide, et moi à la traine, victorieux d'une longueur achevée dans la douleur à chaque fois, et à la peine en voyant ces voisins repartir de plus belle avec une belle facilité. Pas essouflés, ils pouvaient passer le reste de la journée à aligner les longueurs avec une telle aisance.
Il est temps de se poser. J'accroche le bout de la ligne, je stoppe la montre. Et je réfléchis. Il reste à peu près une quinzaine de longueurs pour cette séance là. Le but est de la terminer le plus cool possible, et si possible ressortir par l'échelle. Se relâcher est un point clé. Mais sans se décourager et laisser la place à la désolation et l'abandon de l'exercice.
Donc j'ai forcé, en imaginant un Philippe Lucas sur le bord me guidantet m'encourageant (je ne sais pas pourquoi lui spécialement, que je ne blaire pas), et en pensant à ce qu'ont du en chier les Manaudou et autres Bernard. Et de me dire de refaire une longueur en respirant sur le côté seulement, et de terminer cette troisième longueur consécutive. Je bois la tasse, mais tant pis, il faut finir.
Il faut être maso parfois, mais cela m'a convaincu de reprendre des exercices avec accessoires, et des cours. Ayant vu qu'à la piscine, ils ne prêtent pas de palmes, un passage par un Go Sport ou équivalent sera certainement utile ...
Je me suis rattrapé par des plongeons à trois mètres et une demi longueur du bassin en apnée. Cela m'a détendu de ces émotions, et relaxé. Y aller cool, c'est important. Je me sens maintenant plus à l'aise sous l'eau, même sans lunettes, avec une impression très décontractante.
Et pourtant je le sais très bien : il ne faut pas regarder les autres, surtout quand tout le monde dépasse.
Et bien j'ai pêché. Et la sanction a été sévère cette semaine à Jean Taris. Observant mes voisins sur la ligne d'à côté, je repensais à la métaphore du ski : plus de technique, moins d'effort, plus d'endurance et plus de vitesse. Tout pareil ! Et à eux d'enchainer les allées et venues avec une technique hyper fluide, et moi à la traine, victorieux d'une longueur achevée dans la douleur à chaque fois, et à la peine en voyant ces voisins repartir de plus belle avec une belle facilité. Pas essouflés, ils pouvaient passer le reste de la journée à aligner les longueurs avec une telle aisance.
Il est temps de se poser. J'accroche le bout de la ligne, je stoppe la montre. Et je réfléchis. Il reste à peu près une quinzaine de longueurs pour cette séance là. Le but est de la terminer le plus cool possible, et si possible ressortir par l'échelle. Se relâcher est un point clé. Mais sans se décourager et laisser la place à la désolation et l'abandon de l'exercice.
Donc j'ai forcé, en imaginant un Philippe Lucas sur le bord me guidantet m'encourageant (je ne sais pas pourquoi lui spécialement, que je ne blaire pas), et en pensant à ce qu'ont du en chier les Manaudou et autres Bernard. Et de me dire de refaire une longueur en respirant sur le côté seulement, et de terminer cette troisième longueur consécutive. Je bois la tasse, mais tant pis, il faut finir.
Il faut être maso parfois, mais cela m'a convaincu de reprendre des exercices avec accessoires, et des cours. Ayant vu qu'à la piscine, ils ne prêtent pas de palmes, un passage par un Go Sport ou équivalent sera certainement utile ...
Je me suis rattrapé par des plongeons à trois mètres et une demi longueur du bassin en apnée. Cela m'a détendu de ces émotions, et relaxé. Y aller cool, c'est important. Je me sens maintenant plus à l'aise sous l'eau, même sans lunettes, avec une impression très décontractante.
Récap semaine 9 (23 février)
Cette semaine-là s'est résumée aux activités suivantes :
- Lundi : 2 km de natation ;
- mardi : 1h30 de yoga et 10 km de vélo en salle (dont les intervalles) suivis de 20 minutes d'étirements à base des postures de yoga ;
- Mercredi : 1.8 km de natation ;
- Jeudi : 10 km de vélo en salle, et 30 minutes de yoga de récupération.
- Vendredi : 1.6 km de natation à Jean Taris. Une petite émotion au passage, malgré le côté poussif de cette séance aussi, en pensant aux 100 km de nage totalisés à ce moment là (sur le site 1-2-sports) depuis que je recense mes efforts depuis juillet dernier ... Mais en réalité c'est un peu plus car je me suis inscrit après avoir commencé mes séances régulières (j'entends par là au moins deux séances par semaine). Ca fait bizarre toute cette distance en cumulé ...
Une bonne semaine en résumé.
Total :
Natation : 2h35 (5.4 km)
Yoga : 2h20
Vélo en salle : 20 km (43'30).
- Lundi : 2 km de natation ;
- mardi : 1h30 de yoga et 10 km de vélo en salle (dont les intervalles) suivis de 20 minutes d'étirements à base des postures de yoga ;
- Mercredi : 1.8 km de natation ;
- Jeudi : 10 km de vélo en salle, et 30 minutes de yoga de récupération.
- Vendredi : 1.6 km de natation à Jean Taris. Une petite émotion au passage, malgré le côté poussif de cette séance aussi, en pensant aux 100 km de nage totalisés à ce moment là (sur le site 1-2-sports) depuis que je recense mes efforts depuis juillet dernier ... Mais en réalité c'est un peu plus car je me suis inscrit après avoir commencé mes séances régulières (j'entends par là au moins deux séances par semaine). Ca fait bizarre toute cette distance en cumulé ...
Une bonne semaine en résumé.
Total :
Natation : 2h35 (5.4 km)
Yoga : 2h20
Vélo en salle : 20 km (43'30).
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